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BE ALPHAS  ARC-I FED-HW

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Producteur : Le socialisme va plus facilement s’implanter dans la région hutoise, plus industrielle bien que ce soit de petites et moyennes entreprises variées et donc moins agricole que la région de Waremme. En 1869 naît une section hutoise de l’Internationale des Travailleurs qui sera à l’origine de la société de secours mutuel « les ouvriers réunis » puis, après une léthargie, est créée « la Fraternelle » et enfin en 1894 naît la Fédération hutoise du POB. Les syndicats et coopératives socialistes qui s’occupent aussi de l’éducation ouvrière se développent également et d’ailleurs par ce biais que se développe le socialisme politique dans la région de Waremme jusqu’au principe d’affiliation unique en 1919 à Waremme. La fusion des deux arrondissements en 1900 en vue des législatives amèneront les socialistes des deux régions à coopérer puis vers 1919 fusionner également au sein d’une même Fédération du POB. La Fédération obtient ainsi un premier échevinat en 1907 ; elle gagnera 20 nouvelles majorités communales en 1932 et Joseph Wauters intégrera le gouvernement (1918-21;25-27). Dans l’entre deux-guerre, elle prend position contre la politique de neutralité. Pendant la seconde guerre mondiale, les socialistes de la région sont forts actifs dans la résistance, notamment le futur Ministre de la Santé puis de la Sécurité sociale puis Premier Ministre Edmond Leburton. Juste après guerre, les communistes font reculer le PSB dans la région puis ils remontent avec le vote des femmes. Par contre, le mouvement syndical se porte bien. La Fédération se mobilise lors de la Question royale, la guerre scolaire et en faveur du fédéralisme que contribuera à mettre en œuvre Freddy Terwagne au gouvernement. Autre sujet de préoccupation, la dégradation de l’économie locale comme dans les bassins miniers. Autres mandataires importants par après Anne-Marie Lizin et à la région Robert Collignon. Comme toutes les Fédérations du PS, la Fédération de Huy-Waremme est organisée par ordre de grandeur de représentation autour du congrès/assemblée fédéral(e) puis du Comité fédéral et de l’Exécutif puis, pour la gestion journalière, du Président et Secrétaire fédéral. Les Fédérations du PS chapeautent les Unions socialistes communales qui ont droit chacune à des Délégués au sein de l’Assemblée fédérale tandis que l’AG élit des représentants au sein du Conseil et ainsi de suite.

Contenu : Statuts, Correspondance, Comptes, Affiliations, Elections, festivités (1^er mai), activités diverses (conférences …),

– Documents en rapport avec les organes de la Fédération du PS de Huy-Waremme (dont Unions Socialistes Communales) ;

– Commissions et dossiers thématiques de la Fédération du PS de Huy-Waremme (ou dossiers non organiques) : politique (Assassinat d’André Cools, Agusta-Dassault), économie (Autogestion), Sociale (Avortement, Pensions) ;

– Rapports avec la Fédération liégeoise du PS, Congrès des Socialistes wallons ;

– Action Commune et ses composantes (FGTB, FMSS, mouvement coopératif) ;

– Organisations liées au/proches du parti et du mouvement socialiste : ONG Solidarité Socialiste, Confédération des Jeunesses Socialistes et ses composantes (JS, Etudiants), FPS, asbl Dora Dorës, Pensionnés socialistes, Presse socialiste, Enseignants Socialistes, CREO, PAC, MAC, Fondation André Renard, Fondation Louis de Brouckère, Centre de formation Freddy Terwagne, Ligue de l’Enseignement et de l’Education permanente), Centre d’Action Laïque ;

– Mandataires ;

– Organismes publics et privés où le parti et le mouvement socialiste sont représentés : Union des Villes et Communes, Commission de gestion du parc naturel des vallées de la Burdinale et de la Mehaigne, ULB, CPAS, Maison des Associations d’Amay.

BE ALPHAS ARC-I FED-L

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Producteur : A Liège, les socialistes sont d’abord assez divisés. Seules deux associations ouvrières de la région participe au congrès constitutif du POB en 1885, l’Union Démocratique, groupe politique né d’un rassemblement de socialistes et de libéraux progressistes et qui compte assez peu d’adhérents et l’Union des Mineurs d’Ougrée. La première devient la section liégeoise du parti pour l’arrondissement. Ce sont surtout les Coopératives qui alors constituent le plus gros contingent du mouvement socialiste liégeois avant d’être supplanté par les organisations syndicales. La grève générale de 1886 pour le suffrage universel partie de Liège y fit plusieurs morts. Bien que cela soit encore interdit, les socialistes liégeois fêtent leur premier 1^er mai en 1890. En 1891, les diverses sociétés socialistes de la région liégeoise parviennent enfin à se regrouper sous l’égide du POB. La même année, une grève générale éclate chez les mineurs. Les premières élections législatives sur base du votre plural permettent l’élection de six députés socialistes liégeois dont Célestin Demblon moyennant alliance avec les libéraux progressistes et une majorité aux élections provinciales. Au sein de la Fédération liégeoise du POB en particulier, de nouvelles dissensions ont lieu avec les anarchistes, encore assez nombreux, qui mèneront à l’exclusion de leur meneur Lucien Hénault. L’échec électoral aux législatives de 1912 malgré une alliance avec les libéraux et donc de l’instauration du suffrage universel provoque de nouveaux troubles dont la fusillade de la gendarmerie devant la Maison du Peuple de Liège La Populaire, siège de la Fédération liégeoise du POB, qui fit quatre morts. Avec les réformes sociales et l’obtention du suffrage universel par le gouvernement d’union sociale dans l’entre-deux-guerres la Fédération liégeoise du POB double son nombre de membres pour devenir à partir de 1920 presque sans discontinuité la plus importante des Fédérations du POB. Avec la possibilité pour les femmes d’être élues, six d’entre elles sont élues conseillère communale au sein de la Fédération liégeoise du POB. En 1925, la Fédération liégeoise du POB obtient pour la première fois un ministre en la personne d’Alfred Laboulle aux Travaux publics bien son passage fut bref. En 1929, une première femme devient député en la personne de la liégeoise Lucie Dejardin, qui sera réélue en 1932. La Fédération liégeoise sera au premier plan pour imposer l’idée du fédéralisme au sein d’abord du parti dans un optique d’avancées sociales et de redressement de l’économie. Le premier congrès des socialistes wallons est même organisé à Liège. A la dissolution du parti par son Président collaborateur Henri De Man, les socialistes liégeois se réorganisent, plus rapidement qu’ailleurs, et ce à partir de la création clandestine d’un nouveau journal Le Monde du Travail. La question royale déclencha une grève générale avec malheureusement la mort de quatre manifestants à Grâce-Berleur. Elle permet en tout cas de renouer les liens avec le syndicat, les mutualités et l’Union Coopérative devenus indépendants depuis la seconde guerre mondiale sous le nom d’Action Commune. Il en est de même de la deuxième guerre scolaire et de la contestation de loi unique (mesures d’austérité) qui conduira à Liège de nouveau au décès de trois personnes. La Fédération liégeoise du PS connut plusieurs dissensions internes, en particulier celle entre Coolsiens issus de la périphérie liégeoise comme André Cools (Gaston Onkelinx …) et le groupe Perron axé comme son nom l’indique sur Liège-centre (Jean-Maurice Dehousse, José Happart …), dissension à laquelle l’assassinat de Cools en 1991 ne mit pas pour autant fin. Plus récemment, ce fut entre le clan du Ministre  et Bourgmestre d’Ans Michel Daerden et le club des cinq formé par le Bourgmestre de Liège Willy Demeyer, celui faisant fonction d’Ans Stéphane Moreau, le Député et Bourgmestre de Seraing Alain Mathot, le Président du collège de la Province de Liège André Gilles et le Vice-Président et le Ministre Jean-Claude Marcourt. Par ailleurs, le PS liégeois contribua à développer un puissant réseau d’intercommunales . Comme toutes les Fédérations du PS, la Fédération liégeoise est organisée par ordre de grandeur de représentation autour du congrès/assemblée fédéral(e) puis du Comité fédéral et de l’Exécutif puis, pour la gestion journalière, du Président et Secrétaire fédéral. Les Fédérations du PS chapeautent les Unions socialistes communales qui ont droit chacune à des Délégués au sein de l’Assemblée fédérale tandis que l’AG élit des représentants au sein du Conseil et ainsi de suite. Au sein de la fédération liégeoise uniquement, les USC sont parfois subdivisées en sections qui correspondent aux communes d’avant fusion et à la section de Liège-ville est elle-même subdivisées en ligues (quartiers). Les USC sont regroupées en canton et certains cantons en district.

– Documents en rapport avec les organes de la Fédération liégeoise du PS (en ce compris Unions Socialistes Communales, Sections, Ligues) ;

– Commissions et dossiers thématiques de la Fédération liégeoise du POB/PSB/PS (ou dossiers non organiques) : Aménagement du territoire, Communication aérienne, Fusion des Communes, Transport, Urbanisme et Environnement, Question royale, Commission loi communal + Comptabilité et fiscalité, Extrême droite, Agences de reconversion, Agriculture, Aide aux pauvres, Enseignement, Fabrique d’Eglise, Armement et désarmement … ;

– Fédération provinciale liégeoise du PS, Fédération Socialiste Wallonne et rapports avec les autres fédérations du PS ;

– Documents en lien avec le PS national ;

– Relations avec les socialistes européens, étrangers (Internationale Ouvrière Socialiste, PS français, autrichien et chilien…) avec les autres partis politiques ;

– Action Commune et ses composantes (FGTB, FMSS, mouvement coopératif) ;

– Autres organisations du parti et du mouvement socialiste : ONG Solidarité Socialiste, Fédération des Elus, Centre européen Fernand Dehousse, Socialistes Progressistes Belges, Sections d’entreprises, Indépendants socialistes, Mouvement pour l’autogestion socialiste, Confédération des Jeunesses Socialistes et ses composantes (JS, Etudiants, Faucons), Fonds Truffaut-Delbrouck, FPS, Femmes socialistes, Pensionnés socialistes, Presse socialiste, Enseignants Socialistes, CREO, GSARA, PAC, PEC, Formation André Renard, Centre d’Education Permanente André Genot, Centre d’Information et de Documentation Socialiste, asbl Les Grandes Conférences Socialistes, Fondation JJ Merlot, Centre de formation Freddy, CALg, Maisons de la Laïcité, sport ouvrier … ;

– Mandataires  ;

– Organismes publics et privés où le parti et le mouvement socialiste sont représentés : asbl Avenir du Pays de Liège, asbl Le Grand Liège, ALE, CABM, CILE, Cockerill, Charbonnages de l’Espérance, Interégies, Intermosane, Intradel, SPI, SPE, UTM, Port autonome de Liège, Conseil de l’Enseignement pluraliste, CHR, CPAS, sociétés de logements sociaux, CRIPEL, RTBF, Club de l’Ecran, circuit de Spa-Francorchamps.

BE ALPHAS ARC-I FED-V

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Producteur : Au 19^ème siècle, plusieurs associations socialistes se développent dans la région axée sur l’industrie textile, associations aussi bien politiques que syndicales, mutualistes et coopératives. La plus influente Les Francs ouvriers, qui regroupent des tisserands, les amènent à s’affilier à l’Association internationale des Travailleurs. Après un affaiblissement, Pierre Fluche relance le socialisme dans la région en créant le cercle politique En Avant. Des divisions opposent néanmoins Pierre Fluche, qui prône la solidarité entre ouvrier et petit commerçant et crée la Fédération d’arrondissement axée donc sur la périphérie verviétoise, à Jean Defraiteur, qui favorise surtout l’activité syndicale et coopérative dont sa nouvelle Ruche ouvrière et crée la Fédération verviétoise du POB axée sur la ville de Verviers. Le Parti ouvrier belge, né en 1885, finit par fusionner les deux au sein de la Maison du Peuple. Ce n’est qu’en 1900 que les syndicats socialistes se fédèrent (Fédération de la laine cardée ; fédération de la laine peignée…) et se réunissent au sein d’une confédération régionale. Peu avant la première guerre mondiale, deux coopératives, non concurrentes, sont actives dans la ville : la première l Espérance, est aux mains des syndicats et la seconde aux mains du POB verviétois. Les services offerts sont très diversifiés (charbon pain, lait, pomme de terre, brasserie, soirée cinématographique…). Après la deuxième guerre mondiale, les différentes branches du mouvement socialiste (parti, syndicat, mutualité et coopératives) prennent totalement leur indépendance les unes des autres tout en continuant à collaborer ponctuellement au sein de ce que l’on va appeler l’Action commune. Déjà, les élections législatives au vote plural donnent droit à quatre Députés socialistes verviétois. Le POB finit par s’imposer comme premier parti dans la région jusqu’en 1921 du fait de la constitution du Parti Communiste. La Fédération verviétoise du POB va progressivement reprendre ensuite du poil de la bête. La modernisation et la reconversion économique vont devenir au sortir de la deuxième guerre mondiale un de sujets majeurs pour la Fédération verviétoise du PSB, ainsi que la question linguistique (Communauté germanophone, Fourons) et le fédéralisme pour lequel elle prend fait et cause. Comme toutes les Fédérations du PS, la Fédération verviétoise est organisée par ordre de grandeur de représentation autour du congrès/assemblée fédéral(e) puis du Comité fédéral et de l’Exécutif puis, pour la gestion journalière, du Président et Secrétaire fédéral. Une Fédération Ostbelgien a fini être créée séparément de la Fédération verviétoise du PS. Les Fédérations du PS chapeautent les Unions socialistes communales qui ont droit chacune à des Délégués au sein de l’Assemblée fédérale tandis que l’AG élit des représentants au sein du Conseil et ainsi de suite.

– Documents en rapport avec les organes de la Fédération verviétoise du PS (dont Unions Socialistes Communales) ;

– Commissions et dossiers thématiques de la Fédération verviétoise du POB/PSB/PS (ou dossiers non organiques) : Fourons, Aménagement du territoire, Autoroute Verviers-Prüm, Fusion des Communes, Environnement, gestion de l’Eau et des déchets, Animation politique et Propagande, Question royale, loi Unique, grève de l’hiver 1960-61, Régionalisation et communautarisation, situation économique de la Belgique et de la Région verviétoise, industrie textile, industrie charbonnière, métallurgie, industrie de la construction, zoning industriel d’Andrimont, Agriculture, Emploi, Œuvres sociales, services sociaux dont ceux des travailleurs indépendants, logement, centres de santé, Santé et travail, Allocations familiales, Chômage, Vacances ouvrières, handicapés, Jeunes, crèches, Enseignement, Guerre scolaire, Presse, service militaire ;

– Rapports avec la Fédération liégeoise du PS, Fédération Socialiste Wallonne, Rapports avec les autres fédérations du PS ;

– Documents en lien avec le POB/PSB/PS national : égalité femmes-hommes, immigration et intégration des Etrangers, maintien de l’ordre ;

– Relations avec les partis socialistes étrangers (surtout les socialistes allemands, Association internationale des Travailleurs);

– Action Commune et ses composantes (FGTB, FMSS, mouvement coopératif) ;

– Autres organisations  du parti et du mouvement socialiste : Les Amis de la Nature, Agence de Tourisme populaire, Fédération des Elus, Sections d’entreprises, Association socialiste des Familles, Confédération des Jeunesses Socialistes et ses composantes (JS, Faucons rouges), Fonds Truffaut-Delbrouck, FPS, Femmes socialistes, Pensionnés socialistes Invalides du travail et de paix, Presse socialiste, Maison du Peuple Floréal, Enseignants Socialistes, CREO, PAC, chorale l’Orphéon, sport ouvrier, Jeunes Pacifistes socialistes verviétois ;

– Mandataires, organes de pouvoir étatiques : Communes (Verviers et Theux surtout), Conseil économique de la Province de Liège, Région wallonne (Conseil économique régional wallon, Société de Développement régional), Communauté germanophone, Gouvernement belge (composition des cabinets ministériels …), Justice (composition du Tribunal de 1^ère instance de Verviers), Europe (Conseil de l’Europe, Conseil des Communes d’Europe) ;

– Organismes publics et privés où le parti et le mouvement socialiste sont représentés : Fédération nationale des Indépendants, CGER/Caisse d’épargne et de retraite, CILE, Société intercommunale d’électricité et de gaz de la région verviétoise, CPAS, Maison de la Culture de Verviers, Opéra royal de Wallonie, Grand Théâtre de Verviers…

Unions socialistes communales

BE ALPHAS ARC-I USC-ANG

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BE ALPHAS  ARC-I USC-BRE

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BE ALPHAS  ARC-I USC-G-B

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BE ALPHAS ARC-I USC-FLE

BE ALPHAS ARC-I USC-POU

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Composantes de l’Action commune

BE ALPHAS ARC-I COOP-F

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BE ALPHAS ARC-I SCOOP

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BE ALPHAS ARC-I FGTB

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BE ALPHAS ARC-I UC

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Autres organisations

BE ALPHAS ARC-I FAU

Seules les archives de plus de 30 ans sont accessibles librement (hors archives publiques)

Producteur : Les Faucons rouges sont un mouvement de jeunesse basé sur les valeurs socialistes et démocrates. Créés en Belgique en 1928 par Jean Nihon (Directeur pédagogique de l’Ecole ouvrière supérieure) sur le modèle d’un mouvement autrichien.  Les Faucons font partie de l’MIF-ISE au niveau international et de la Confédération des jeunesses socialistes de Belgique au niveau national. Leur Bureau central chapeaute le mouvement composé de 70 sections locales implantées sur tout le territoire wallon et bruxellois.

BE ALPHAS ARC-I FPS

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BE ALPHAS ARC-I FS

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Producteurs : La création des Jeunes Gardes Socialistes se situe dans le cadre de la grève de 1886. Devant la violente répression par le gouvernement de ce mouvement de grève faisant plusieurs morts parmi les grévistes, de futurs soldats, sur les recommandations du POB, refusent de tirer sur les grévistes et formeront ce que l’on va appeler les groupes des Jeunes Gardes. En 1890 naît officiellement la Fédération nationale des Jeunes Gardes Socialistes (FNJGS). Etant un mouvement apparenté au POB, leurs revendications rejoignent plus globalement celles du POB donc. En 1895, le mouvement se sépare en deux branches linguistiques avec la création en Flandre des Jonge Socialisten. En 1925, la FNGS et la Fédération d’Education Physique forment la Centrale des Jeunesses Socialistes chargée de coordonner les actions menées par chacun. A la suite de la grève générale de 1936, un rapprochement des Jeunes Gardes Socialistes (JGS) se fait avec les Jeunes Communistes pour former les Jeunes Gardes Socialistes Unifiés mais très vite des tensions apparaissent qui finiront par entraîner la rupture entre les deux mouvements. En 1945, le PSB décide de regrouper ses différents mouvements de jeunesse au sein d’une Confédération des Jeunesses Socialistes. En réaction aux tensions existants entre le Bureau national des JGS noyauté par des intellectuels attachés aux idées communistes et certaines sections davantage composées d’ouvriers attachés et/ou davantage attachées au PSB qui sont volontairement exclues du processus de décision, se crée dans un premier temps en 1962 la Fédération de la Basse-Meuse regroupant plusieurs sections de la région liégeoise hostiles à la Fédération liégeoise des JGS proche du Bureau national puis en 1964 le Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS) né à Herstal du rapprochement de différentes sections  hostiles au Bureau national des JGS. Méfiant au début, le PSB finit par adopter ce nouveau mouvement et sanctionner les JGS

BE ALPHAS ARC-I PACMAC-HW

3,19 ml

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Ce fonds, donné par le Service des Archives de la ville de Liège en 2022, a été inventorié sommairement pour l’instant.

BE ALPHAS ARC-I SER-D

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BE ALPHAS ARC-I FTD

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